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Leçon 22 : Les lignes directrices de Dieu pour les dons

Les lignes directrices de Dieu pour les dons

verset-cle

Dans notre dernière leçon, nous avons appris trois grands principes concernant l'argent et les biens matériels :

1. Tout appartient à Dieu.

2. Toutes choses viennent de Dieu.

3. Nous appartenons à Dieu avec tout ce que nous avons.

La Bible dit que nous sommes les « économes » de Dieu. Un économe, c'est quelqu'un qui gère l'argent ou les biens d'un autre. En tant qu'économes de Dieu, nous devrons lui rendre compte de la manière dont nous avons géré ce qu'il nous a confié. Dans cette leçon, nous apprendrons comment être de bons économes, particulièrement en ce qui concerne les offrandes. Nous apprendrons comment nous servir de notre argent pour nous faire des amis éternels.

L'enseignement de l'Ancien Testament concernant les dons

Quand Dieu libéra son peuple de l'esclavage de l'Égypte pour le conduire dans le pays de Canaan, il lui donna un pays riche et fertile. De tout ce qu'ils récoltaient sur cette bonne terre, Dieu exigeait qu'ils lui en donnent la dixième partie. C'est ce qu'on appelait « la dîme ». Le mot « dîme » signifie « le dixième ».

La dîme appartenait à Dieu

Le but de cette dîme était de rappeler au peuple que tout appartenait à Dieu et de lui apprendre accorder à Dieu la première place dans leur vie.

Dieu est excessivement généreux. Il leur permettait de garder les neuf dixièmes de tout ce qu'ils récoltaient, mais la dîme, ou dixième partie, lui appartenait. La Bible dit :

« Toute dîme de la terre, soit des récoltes de la terre, soit du fruit des arbres, appartient l'Éternel ; c'est une chose consacrée à l'Éternel. » (Lévitique 27.30)

En plus de la dîme, le peuple de Dieu faisait aussi des offrandes volontaires. Les dîmes et les offrandes étaient remises aux sacrificateurs de Dieu. C'est ainsi qu'ils vivaient, étant donné qu'aucun territoire ne leur appartenait en propre. Le peuple de Dieu devait apporter ses dîmes et ses offrandes quand il venait adorer Dieu. Dieu a dit :

« [ ... ] On ne paraîtra point devant l'Éternel les mains vides. Chacun donnera ce qu'il pourra, selon les bénédictions que l'Éternel, ton Dieu, lui aura accordées. » (Deutéronome 16.16, 17)

Dieu apprenait à son peuple à donner. Quand il donnait à Dieu de bon cœur, Dieu lui envoyait d'abondantes récoltes. La Bible dit :

« Honore l'Éternel avec tes biens, et avec les prémices de tout ton revenu : alors tes greniers seront remplis d'abondance, et tes cuves regorgeront de moût. » (Proverbes 3.9, 10)

Dans l'Ancien Testament, le peuple de Dieu a-t-il toujours donné fidèlement ses dîmes et ses offrandes ? Non, pas du tout. Dieu a dit :

« Un homme trompe-t-il Dieu ? Car vous me trompez, et vous dites : En quoi t'avons-nous trompé ? Dans les dîmes et les offrandes. » (Malachie 3.8)

Qu'arriva-t-il quand ils trompèrent Dieu ? Ils tombèrent sous le châtiment de Dieu. Dieu dit :

« Vous êtes frappés par la malédiction, et vous me trompez, la nation tout entière ! » (Malachie 3.9)

Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes

Quand le peuple de Dieu se repentit de sa désobéissance et recommença à nouveau à lui obéir au sujet des dîmes et des offrandes, Dieu déversa sa bénédiction sur eux. Dieu dit :

« Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, afin qu'il y ait de la nourriture dans ma maison ; mettez-moi de la sorte à l'épreuve, dit l'Éternel des armées. Et vous verrez si je n'ouvre pas pour vous les écluses des cieux, si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance. » (Malachie 3.10)

L'enseignement du Nouveau Testament concernant les dons

Voici quel est dans la Bible le grand principe concernant les dons : quand nous donnons Dieu, Dieu nous donne en retour. Le Seigneur Jésus a dit :

« Donnez, et il vous sera donné : on versera dans votre sein une bonne mesure, serrée, secouée et qui déborde [ ... ]. » (Luc 6.38)

Dieu donne généreusement

Quand Dieu donne, il donne en abondance. Il est très généreux. À l'époque de Jésus, les gens achetaient leur blé en vrac. Beaucoup de vendeurs versaient le blé dans une mesure sans permettre à l'acheteur de la secouer. Mais le Seigneur n'agit pas ainsi. Il donne « une bonne mesure, serrée, secouée et qui déborde. »

Nos dons permettent à Dieu de nous donner en retour. Plus nous donnons, plus Dieu nous donne en retour ; moins nous donnons, moins Dieu nous donne en retour. Jésus a dit :

« [ ... ] Car on vous mesurera avec la mesure dont vous vous serez servis. » (Luc 6.38)

L'Ancien et le Nouveau Testaments nous présentent tous deux le même enseignement : quand nous donnons à Dieu, Dieu nous donne en retour. Dieu n'est pas pauvre; il n'est pas non plus avare. Il aime donner à ses enfants, mais nous devons d'abord remplir la condition suivante : « Donnez, et il vous sera donné. »

Dieu ne nous demande pas de donner parce qu'il a besoin de quelque chose. Il dit :

« Si j'avais faim, je ne te le dirais pas, car le monde est à moi et tout ce qu'il renferme » (Psaume 50.12).

Dieu nous dit de donner parce qu'il veut que ses enfants soient comme lui. Dieu est généreux et il veut que ses enfants soient généreux. Une autre raison pour laquelle Dieu nous demande de donner, c'est afin que nous puissions nous « amasser des trésors dans le ciel ». Nous ne pouvons pas envoyer notre argent au ciel, mais nous pouvons le donner afin que d'autres soient sauvés. C'est cela s'amasser des trésors dans le ciel.

Principes concernant les dons

La Parole de Dieu nous donne un certain nombre de principes concernant les dons :

1

Premièrement, donnez-vous vous-mêmes à Dieu.

donnez-vous vous-mêmes à Dieu

Le premier don que Dieu veut de notre part, c'est nous-mêmes. Voici l'ordre à suivre : donnez-vous d'abord vous-mêmes à Dieu, et donnez ensuite une partie de ce que Dieu vous a donné.

C'est ce que les chrétiens de la Macédoine avaient fait, et l'apôtre Paul les a félicités pour cela. Paul a écrit :

« [ ... ] Ils se sont d'abord donnés eux-mêmes au Seigneur, puis à nous, par la volonté de Dieu. » (2 Corinthiens 8.5)

2

Donnez selon ce que Dieu vous a donné.

Dans l'Ancien Testament, Dieu a ordonné à son peuple de lui donner le dixième de tout ce qu'il récoltait. Dans le Nouveau Testament, Dieu n'a pas établi de loi quant au montant que nous devons donner. Au lieu de cela, la Parole de Dieu dit :

« Que chacun de vous [ ... ] mette à part chez lui ce qu'il pourra, selon sa prospérité. » (1 Corinthiens 16.2)

Quel pourcentage de notre revenu devrions-nous donner ? Nous pouvons prendre la dîme (dix pour cent) comme un minimum, mais nos dons devraient aller au-delà de cela. Tout dépend de notre degré de reconnaissance pour la façon dont Dieu nous a bénis et de la force de notre désir de nous « amasser des trésors dans le ciel ».

R. G. LeTourneau, homme d'affaires chrétien, a comme habitude de donner 90 pour cent de ses revenus à Dieu. Un jour quelqu'un lui demanda : « M. LeTourneau, est-il vrai que vous donnez 90 pour cent de vos revenus au Seigneur ? »

Il répondit : « Non, je ne donne rien à Dieu. Tout lui appartient. Ce que je fais, c'est de ne garder que dix pour cent. »

3

Donnez de façon systématique.

Nous devons donner régulièrement et de façon systématique

Donner est un acte d'adoration, et nos dons ne doivent pas se faire au petit bonheur. Nous devons donner régulièrement et de façon systématique « le premier jour de la semaine » quand nous nous rassemblons pour adorer Dieu. La Bible dit :

« Que chacun de vous, le premier jour de la semaine, mette à part chez lui ce qu'il pourra, selon sa prospérité [ ... ]. » (1 Corinthiens 16.2)

Personne n'est exclue. Les vieux et les jeunes, les riches et les pauvres, tous doivent donner. La Bible dit : « Que chacun de vous [ ... ] mette à part chez lui ce qu'il pourra, selon sa prospérité. »

4

Donnez avec joie et libéralité.

Dieu aime celui qui donne avec joie

Quoi que ce soit que nous donnions au Seigneur, il veut que nous le lui donnions de bon cœur. Dieu ne veut pas que nous donnions avec tristesse. La Bible dit :

« Que chacun donne comme il l'a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte ; car Dieu aime celui qui donne avec joie. » (2 Corinthiens 9.7)

5

Donnez avec sagesse.

Le Seigneur Jésus a dit que nous devions être « des économes fidèles et prudents ». Certains chrétiens donnent libéralement, mais ils ne le font pas avec sagesse. Donner à une Église ou à une organisation qui ne prêche pas fidèlement la Parole de Dieu, ce n'est pas donner avec sagesse. Nous devrions faire autant attention à la manière dont nous investissons l'argent du Seigneur que nous le ferions pour un investissement commercial. Nous devons investir où nous en retirerons les plus grands récompenses spirituels.

Comment Dieu mesure nos dons

Vous n'avez pas besoin d'avoir de grandes sommes d'argent pour donner beaucoup aux yeux de Dieu. Dieu ne mesure pas nos offrandes par le montant de nos dons. Il mesure nos dons en proportion de ce que nous avons. Dieu regarde quel sacrifice est impliqué dans nos dons. Aux yeux de Dieu, un pauvre peut donner autant sinon plus qu'un riche.

Une pauvre veuve s'approcha ensuite et déposa deux petites pièces

Nos dons devraient nous coûter quelque chose. Un jour, le Seigneur Jésus se tenait dans le temple et il surveillait les gens qui apportaient leurs offrandes. Certains étaient riches et donnaient beaucoup. Une pauvre veuve s'approcha ensuite et déposa deux petites pièces. Ces pièces de monnaie n'avaient presque aucune valeur ; aux yeux de Dieu, cette femme avait cependant donné plus que tous les autres. Pourquoi ? Parce qu'elle avait donné tout ce qu'elle avait pour vivre. Jésus a dit :

« Je vous le dis en vérité, cette pauvre veuve a donné plus qu'aucun de ceux qui ont mis dans le tronc ; car tous ont mis de leur superflu, mais elle a mis de son nécessaire, tout ce qu'elle possédait, tout ce qu'elle avait pour vivre. » (Marc 12.43, 44)

À qui devrions-nous donner ?

Dans sa Parole, Dieu nous dit à qui nous devrions donner :

1

Nous devrions donner à notre église locale.

Nous devrions donner à notre église locale

La plupart de nos dons devraient normalement aller à notre église locale pourvu que cette église enseigne fidèlement la Bible et qu'elle exalte Jésus-Çhrist. Dieu a ordonné que son Eglise et ses ministres soient soutenus par les dons de son peuple. La Bible dit :

« De même aussi, le Seigneur a ordonné à ceux qui annoncent l'Évangile de vivre de l'Évangile. » (1 Corinthiens 9.14)

2

Nous devrions donner à ceux qui nous ont aidé spirituellement.

La Parole de Dieu nous instruit de partager notre argent avec ceux qui nous ont enseigné la Parole de Dieu et qui nous ont aidé spirituellement La Bible dit :

« Que celui à qui l'on enseigne la parole fasse part de tous ses biens à celui qui l'enseigne. » (Galates 6.6)

3

Nous devrions donner à ceux qui sont dans le besoin.

Nous devrions donner à ceux qui sont dans le besoin

Nous devons donner à ceux qui sont dans le besoin, particulièrement aux chrétiens. C'est une des façons par lesquelles nous pouvons montrer que nous avons l'amour de Dieu dans notre cœur. La Bible dit :

« Si quelqu'un possède les biens du monde, et que, voyant son frère dans le besoin, il lui ferme ses entrailles, comment l'amour de Dieu demeure-t-il en lui ? » (1 Jean 3.17)

Comme règle générale, nos dons pour ceux qui sont dans le besoin devraient se faire par l'entremise de l'église locale. Nous devrions faire nos dons d'une façon simple et sans attirer l'attention sur nous.

4

Nous devrions donner à ceux qui annoncent l'Évangile aux hommes qui sont perdus.

Chaque chrétien a la responsabilité d'annoncer l'Evangile à ceux qui sont perdus. Voici le commandement que Dieu nous a donné : « [ ... ] Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création » (Marc 16.15). Si nous ne pouvons pas y aller nous-mêmes, nous devrions considérer comme un privilège de soutenir des missionnaires qui annoncent l'Evangile à ceux qui n'ont jamais entendu parler de Jésus-Christ.

Donner, c'est semer

Donner, ce n'est pas gaspiller de l'argent, c'est semer

Donner, ce n'est pas gaspiller de l'argent ; c'est semer. Quand nous semons, nous ne perdons pas la semence ; nous la plantons, afin de pouvoir récolter plus tard. Notre récolte dépendra de ce que nous avons semé. C'est également vrai pour nos dons. En écrivant à l'Église de Corinthe à propos des dons, Paul a dit :

« Sachez-le, celui qui sème peu moissonnera peu, et celui qui sème abondamment moissonnera abondamment. » (2 Corinthiens 9.6)

Dieu veut fournir l'argent pour le soutien de ses églises et pour envoyer ses serviteurs vers ceux qui n'ont jamais entendu l'Évangile. Comment fait-il cela ? Il nous donne de l'argent, afin que nous puissions donner pour son œuvre. Il veut que nous puissions donner généreusement. La Bible dit :

« Et Dieu peut vous combler de toutes ses grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne œuvre. » (2 Corinthiens 9.8)

Pour la question des dons, le Seigneur Jésus est lui-même notre meilleur exemple. La Bible dit :

« Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ, qui pour vous s'est fait pauvre, de riche qu'il était, afin que par sa pauvreté vous soyez enrichis. » (2 Corinthiens 8.9)

Se faire des amis éternels

Jésus a souvent enseigné ses disciples au moyen de paraboles. Une parabole, c'est une courte histoire qui fait ressortir une ou plusieurs vérités spirituelles.

Dans Luc 16, le Seigneur Jésus a parlé d'un homme riche qui avait un économe. C'est ce dernier qui gérait ses biens. Quand l'homme riche entendit dire que son économe gaspillait ses biens, il le fit venir rendre compte devant lui de son administration.

Quand l'économe se rendit compte qu'il allait bientôt perdre son emploi, il se dit en lui-même : « Que ferai-je, puisque mon maître m'ôte l'administration de ses biens ? Travailler à la terre ? je ne le puis. Mendier ? j'en ai honte. Je sais ce que je ferai, pour qu'il y ait des gens [les amis que je vais me faire] qui me reçoivent dans leurs maisons quand je serai destitué de mon emploi. »

Cet économe imagina un plan

Cet économe imagina un plan pour assurer son avenir. Il décida de faire venir les débiteurs de son maître pour conclure avec eux des généreux accords. De cette façon, ils lui seraient redevables et deviendraient ses « amis » . Quand il aurait perdu son emploi, ces « amis » le recevraient dans leurs maisons et lui fourniraient chambre et pension.

L'économe mit rapidement son plan à exécution. La Bible dit :

« Et, faisant venir chacun des débiteurs de son maître, il dit au premier : Combien dois-tu à mon maître ? Cent mesures d'huile, répondit-il. Et il lui dit : Prends ton billet, assieds-toi vite, et écris cinquante. Il dit ensuite à un autre : Et toi, combien dois-tu ? Cent mesures de blé, répondit-il. Et il lui dit : Prends ton billet, et écris quatre-vingts. »

L'économe fit de même pour tous les débiteurs de son maître. Que faisait-il ? Il assurait son avenir. Ils se faisait des « amis » pour le jour où il n'aurait plus d'emploi. Le maître loua son économe pour son habileté même si cela représentait pour lui une certaine perte de revenus. Il reconnut que l'économe avait besoin de s'assurer une certaine sécurité pour l'avenir.

De cette parabole, le Seigneur veut nous faire apprendre trois principes très importants :

1

Nos biens nous sont confiés, ils ne nous appartiennent pas.

Tout ce que nous avons appartient à Dieu. Nous ne possédons rien. Nous ne sommes que les économes de Dieu et nous gérons ce qu'il nous a confié.

2

Nous devrions un jour rendre compte de notre administration.

Dieu nous a donné la vie, la santé, des talents, des capacités, de l'argent et d'autres choses encore. Nous devrons un jour lui rendre compte de ce que nous avons fait avec ce qu'il nous a confié. L'entendre nous dire : « C'est bien, bon et fidèle serviteur », vaudra plus que tout ce que le monde a à nous offrir.

3

L'utilisation la plus sage et la meilleure que nous puissions faire de notre argent, c'est de s'en servir pour que d'autres viennent à connaître Jésus-Christ.

le ciel

Dans la phrase suivante, Jésus nous a donné la clé de l'histoire :

« Et moi, je vous dis : Faites-vous des amis avec les richesses injustes, pour qu'ils vous reçoivent dans les tabernacles éternels, quand elles viendront à vous manquer [à votre mort]. » (Luc 16.9)

Ce que le Seigneur dit ici, c'est que nous devons nous servir de notre argent pour nous faire des amis éternels, afin que ces amis que nous avons contribué à amener à Jésus-Christ soient là pour nous accueillir quand nous arriverons au ciel.

En Angleterre, un vieux gentleman approchait de son quatre-vingtième anniversaire. Ne sachant quoi lui donner, ses enfants et les membres de sa famille décidèrent de mettre leurs dons en commun et de lui donner l'argent pour qu'il s'achète ce qu'il voudrait.

La famille recueillit une somme d'argent équivalant à 2 400 $. Quand on lui dit cela, le vieux gentleman demanda : « Voulez-vous dire que vous avez ramassé cette somme d'argent pour moi et que je peux en faire ce que je veux ? »

Quand ils lui assurèrent que c'était bien cela, il dit : « Je veux que cet argent serve à imprimer la Bible dans une langue dans laquelle elle n'a encore jamais été publiée. »

Afrique Bible

La famille prit des renseignements auprès de la Société Biblique Britannique. On leur dit : « C'est fantastique ! Des missionnaires en Afrique ont travaillé pendant des années pour traduire la Bible dans une nouvelle langue. Nous venons tout juste de recevoir le manuscrit. »

Quand on demanda combien il en coûterait pour faire imprimer les Bibles dans cette nouvelle langue, on leur répondit : « Environ trois mille dollars. » La famille fit rapidement circuler le chapeau pour ramasser l'argent additionnel.

Les Bibles furent finalement imprimées et envoyées à cette tribu d'Afrique qui n'avait jamais eu auparavant la Parole de Dieu dans sa langue. Par la lecture de la précieuse Parole de Dieu, plusieurs d'entre eux vinrent à connaître Jésus-Christ comme leur Sauveur.

(Cité par L. E. Maxwell)

Essayons d'imaginer ce vieux gentleman arriver au ciel quelques années plus tard. Déjà un grand nombre de personnes de cette tribu africaine sont mortes et sont montées au ciel. En arrivant, un groupe de personnes l'accueillent et l'entourent de leurs bras. Elles lui disent : « Vous êtes notre ami. Nous vous attendions. »

Le vieux gentleman les regarde, tout surpris, et leur dit : « Mais, je ne vous connais pas. Qui êtes-vous ? »

« Vous ne nous connaissez peut-être pas, disent-ils, mais nous vous connaissons. Vous êtes celui qui a donné de l'argent afin que nous puissions avoir la Parole de Dieu dans notre langue. Sans votre don vous, nous ne serions pas dans ce magnifique endroit. Vous êtes notre ami pour toujours ! »

quelqu'un qui m'accueillera au ciel

Le jour vient où notre argent ne nous sera plus d'aucune utilité. Le jour vient où notre administration prendra fin. Pendant le peu de temps qui nous reste, nous devrions nous servir de notre argent pour que d'autres soient amenés à Jésus-Christ et que nous ayons ainsi des amis éternels. C'est l'utilisation la meilleure et la plus sage que nous puissions faire de notre argent.

Chacun de nous devrait se poser les questions suivantes : Suis-je un bon économe de tout ce que Dieu m'a confié ? Est-ce que j'utilise mon argent pour me faire des amis éternels ? Y aura-t-il quelqu'un qui m'accueillera au ciel et qui me dira : « N'eut été de vous, je ne serais pas dans ce merveilleux endroit. Vous êtes mon ami pour toujours » ?


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