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Leçon 8 : Mon Cadeau à Dieu

Mon Cadeau à Dieu

Bonjour !

Dieu donne à ses enfants une foule de cadeaux merveilleux, mais le plus grand cadeau qu’il nous ait fait, c’est son Fils, le Seigneur Jésus-Christ. Il m’a tout d’abord donné Christ, afin qu’il meure pour mes péchés et que je puisse ainsi devenir un enfant de Dieu. Puis, Dieu m’a donné Christ pour vivre en moi, afin que je puisse vivre comme un enfant de Dieu est censé vivre.

Dieu veut que je me donne moi-même à lui.

Maintenant, il est grand temps de penser à ce que moi je peux donner à Dieu. Si j’aime vraiment Dieu et que j’apprécie toutes les grandes choses qu’il a faites pour moi, je voudrai lui offrir un cadeau qui lui plaira plus que tout autre.

Quel cadeau puis-je offrir à Dieu qui lui plaira plus que tout autre ? Est-ce un don en argent ? Non ! Dieu n’a pas besoin de mon argent. Est-ce le don de mon travail pour lui ? Non ! Il n’en a pas besoin non plus.

Le cadeau qui plaît le plus à Dieu, c’est le don de moi-même ! Si j’aime sincèrement Dieu de tout mon cœur, je voudrai lui donner ce cadeau qu’il désire plus que tout autre. C’est le cadeau que les croyants de la ville de Corinthe ont donné à Dieu. La Bible rapporte ceci :

« [...] ils se sont d’abord donnés eux-mêmes au Seigneur [...] » (2 Corinthiens 8.5).

Le meilleur cadeau

Quand vous aimez quelqu’un de tout votre cœur, vous voulez lui exprimer votre amour en lui offrant le meilleur cadeau qui soit.

Une adolescente de 13 ans écoutait attentivement ce que le pasteur avait à dire au sujet de l’amour que Dieu avait pour elle. Il lui dit que Dieu l’avait tellement aimée qu’il lui avait donné le meilleur cadeau qui puisse exister: son propre Fils. Il poursuivit en ajoutant que le Seigneur Jésus l’aimait tellement qu’il était mort sur la croix pour ses péchés.

Le cœur de la jeune fille fut vivement touché. Elle aimait profondément le Seigneur et elle voulait lui exprimer son amour. Comme elle n’avait pas d’argent, il lui semblait qu’elle n’avait rien à offrir au Seigneur.

la jeune fille y prit place

Puis elle pensa à un cadeau qui plairait beaucoup à Dieu. Quand la personne chargée de recueillir les offrandes tendit le plateau, elle lui chuchota : « Voulez-vous, s’il vous plaît, baisser le plateau. » Ce qui fut fait. Mais la jeune fille dit : « Baissez-le davantage. » La personne le baissa donc plus près du sol, mais la jeune fille chuchota : « Encore plus bas. »

Finalement, quand le plateau toucha terre, la jeune fille y prit place. Elle offrait au Seigneur le meilleur cadeau qu’elle pût jamais lui donner. Elle se donnait elle-même à Dieu !

Le meilleur cadeau que nous puissions donner au Seigneur est le don de nous-mêmes. C’est le cadeau que Dieu apprécie le plus.

Qu’est-ce que cela veut dire ?

Qu’est-ce que cela veut dire quand je me donne moi-même au Seigneur ? Cela veut dire que je lui donne ma vie pour faire sa volonté au lieu de la mienne.

Mon ennemi, Satan, ne veut pas que je me donne au Seigneur. Il hait Dieu et il me hait. Il pourrait bien me dire : « Ne donne pas ta vie au Seigneur ! Si tu fais cela, il va t’obliger à faire des choses difficiles que tu n’aimes pas faire. » Mais Satan est un menteur !

Imaginons un père tendre et aimant, qui a une petite fille qu’il chérit.

Imaginons un père tendre et aimant, qui a une petite fille qu’il chérit. La petite fille aussi aime beaucoup son papa. Un jour, elle grimpe sur ses genoux et lui dit : « Papa, tu es si bon et si sage ! Tu sais ce qu’il y a de mieux pour moi. Je t’aime tellement, que je veux me donner moi-même à toi pour faire tout ce que tu me diras de faire. »

À votre avis, que dirait le père ? Dirait-il : « Ah ! Très bien ! Cela fait longtemps que je voulais entendre ces paroles de ta bouche. À partir de maintenant, je ne veux plus que tu t’amuses. Tu ne peux plus sortir jouer dehors et tu dois manger trois fois par jour des aliments que tu n’aimes pas ! » ?

Est-ce qu’un père aimant tiendrait ce genre de langage à son enfant qu’il aime de tout son cœur ? Bien sûr que non ! Jamais il ne dirait de telles choses. Il dirait plutôt quelque chose comme ceci : « Ma chère enfant, je t’aime de tout mon cœur. Je désire uniquement ce qu’il y a de mieux pour toi. Mon plus grand plaisir est de te voir heureuse et satisfaite. »

Il en va de même pour notre Père céleste. Il aime ses enfants et veut uniquement ce qu’il y a de mieux pour eux. Il se réjouit de nous voir heureux et satisfaits.

Pourquoi devrais-je me donner moi-même au Seigneur ?

La raison pour laquelle je devrais me donner au Seigneur est que je lui appartiens. La Bible dit :

« Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes ? »

« Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu. » (1 Corinthiens 6.19, 20)

Le prix consistait en son propre précieux sang.

« Vous n’êtes pas à vous-mêmes. » Je ne m’appartiens pas, mais j’appartiens à celui qui m’a « racheté » : le Seigneur Jésus.

Quel prix le Seigneur Jésus a-t-il payé pour moi ? Le prix consistait en son propre précieux sang. Ce n’était ni de l’or ni de l’argent, mais quelque chose de bien plus précieux. Il a donné sa propre vie pour moi. Il a versé son sang pour moi à la croix. Voici ce que dit la Bible :

« [...] Ce n’est pas par des choses périssables, par de l’argent ou de l’or, que vous avez été rachetés [...] mais par le sang précieux de Christ [...]. » (1 Pierre 1.18, 19)

J’étais esclave du péché et de Satan, mais le Seigneur m’a racheté et m’a délivré de mes ennemis. Maintenant je lui appartiens, et il est mon maître. Cela veut dire qu’il est celui à qui l’on doit obéir. Quoi qu’il puisse arriver, je lui appartiendrai toujours. La Bible dit :

« [...] Soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur » (Romains 14.8).

Propriété et possession

Il y a une différence entre propriété et possession. Avoir en propriété quelque chose signifie que j’en suis le propriétaire et que la chose m’appartient. Avoir en possession quelque chose signifie que j’en ai l’usage.

Un homme voulait acheter une ferme adjacente à sa terre. De quoi avait l’air cette ferme ? Eh bien, elle n’était pas du tout belle à voir ; au contraire ! Elle était affreuse ! Le propriétaire de la ferme vivait dans une autre ville et l’avait louée à des personnes pendant de nombreuses années.

Les locataires n’entretenaient pas du tout la ferme. Ils permettaient à des gens de déverser des ordures sur la terre. De profondes ornières creusaient les champs où les pluies avaient emporté toute la bonne terre. Les champs étaient envahis par les mauvaises herbes. Et, comble de tout, des serpents venimeux vivaient dans quelques-unes des cabanes délabrées disséminées autour de la ferme.

Propriété sans possession

Pour quelle raison un homme voudrait-il acheter une telle ferme ? L’homme de notre histoire voulait l’acheter parce qu’il savait ce qu’il pouvait en faire. Il savait qu’il pouvait en faire une ferme belle et productive. Dans son esprit, il voyait déjà de riches pâturages d’herbe et de trèfle, et un beau lac regorgeant de poissons.

L’homme et le propriétaire se mirent d’accord sur un prix pour la ferme. Cependant, le propriétaire l’avertit que la ferme avait été louée pour le reste de l’année. Il pouvait l’acheter dans l’immédiat, mais ne pouvait en prendre possession avant la fin de l’année.

L’homme paya la totalité du prix de la ferme et reçut un contrat stipulant qu’elle lui appartenait maintenant. Pendant plusieurs mois, il passa du temps à parcourir la propriété de long en large pour voir ce qui devait y être fait. Il élaborait toutes sortes de merveilleux plans pour la ferme, mais il ne pouvait y faire la moindre des choses.

Propriété avec possession

Il avait la ferme en propriété, mais il n’en avait pas la possession. Dès les premiers jours de la nouvelle année, quand il prit possession de la ferme, il se mit au travail pour faire de la ferme ce qu’il désirait qu’elle soit. Avec le temps, il en fit une des fermes les plus belles et les plus prospères de la région.

Ma vie était comme cette vieille ferme. Elle n’était pas belle du tout. Mais le Seigneur Jésus m’aimait tel que j’étais, et il a payé un prix élevé pour « m’acheter ». C’était le prix de sa propre vie.

Pourquoi le Seigneur Jésus a-t-il fait cela ? Il l’a fait parce qu’il voulait faire quelque chose de précieux de ma vie. Pour faire cela, il devait non seulement avoir ma vie en propriété, mais il devait aussi l’avoir en possession.

Quelle était ma part dans tout cela ? De mon côté, je devais donner au Seigneur Jésus la possession de ma vie qu’il a achetée au prix de son propre sang. La Bible dit :

« Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu. » (1 Corinthiens 6.20)

Le Seigneur a-t-il en possession votre vie ?

Le Seigneur a un plan pour votre vie. Il sait ce qu’il veut en faire pour qu’elle soit belle et utile. Il veut vous remplir de sa vie, de sa joie et de sa puissance.

je te remercie de m’avoir tant aimé que tu as donné ta vie pour moi

Toutefois, le Seigneur ne peut pas entreprendre les choses merveilleuses qu’il désire faire, tant que vous ne lui aurez pas permis de prendre possession de votre vie. Il ne vous forcera jamais à le faire malgré vous. Il désire que vous preniez cette décision parce que vous l’aimez et que vous lui faites confiance. Il attend que vous lui disiez :

« Seigneur Jésus, je te remercie de m’avoir tant aimé que tu as donné ta vie pour moi. Je sais que je t’appartiens. Maintenant, par mon choix et par ma volonté, je te donne ma vie, afin que tu puisses en faire ce que tu veux. »

Pourquoi devrions-nous désirer nous donner nous-mêmes au Seigneur ?

Nous savons que nous devrions nous donner nous-mêmes au Seigneur, mais pourquoi devrions-nous désirer faire cela ? C’est à cause de l’amour de Christ.

La Bible dit : « L’amour de Christ nous presse [contraint]. » Quand nous comprenons ce qu’il a fait pour nous et l’amour infini dont il nous aime, nous désirons nous donner nous-mêmes à lui.

Quand je contemple cette croix

Quand je contemple cette croix
Où tu mourus, Prince de gloire,
Combien mon orgueil d’autrefois
M’apparaît vain et dérisoire !
Ô mon Sauveur, ne permets pas
Qu’en aucun bien je me confie,
Sauf dans le sang que tu versas
Pour que ta mort devînt ma vie !
Je voudrais t’apporter, Seigneur,
Tout l’univers en humble offrande ;
Mais VOICI MA VIE ET MON cœur :
C’est ce qu’un tel amour demande !

Vous serez béni si vous donnez votre vie au Seigneur.

nous nous tiendrons devant le Seigneur Jésus pour être jugés

Dieu vous demande de lui donner votre vie. Il n’y a pas de solution de rechange. Il est vrai que l’étude biblique, la prière, témoigner de Christ, aller à l’église, faire des oeuvres chrétiennes, tout cela, ce sont de bonnes choses, mais elles ne peuvent pas remplacer le don de soi au Seigneur.

Un jour, vous et moi, nous nous tiendrons devant le Seigneur Jésus pour être jugés sur ce que nous aurons fait de notre vie après avoir été sauvés. Ne serait-il pas merveilleux d’entendre le Seigneur nous dire :

« C’est bien, bon et fidèle serviteur ; tu as été fidèle en peu de chose, je te confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton maître. » (Matthieu 25.23)


Le Vérité de Dieu

Si j’ai cru en Jésus-Christ comme mon Sauveur, ma vie lui appartient. La question à me poser n’est pas : « Est-ce que j’appartiens au Seigneur Jésus ? », mais plutôt : « Ai-je donné au Seigneur Jésus ma vie, qui lui appartient déjà ? »

Je crois

« Dieu, je crois et je comprends que j’appartiens au Seigneur Jésus. Je crois qu’il veut faire de ma vie une vie belle et utile.

« Je me rends compte que le Seigneur Jésus doit avoir ma vie en possession afin d’accomplir son but. Son amour a tellement envahi mon cœur, que je veux lui donner ma vie. Aujourd’hui, je décide une fois pour toutes d’accorder au Seigneur Jésus la pleine possession de ma vie. »

Mon CADEAU à DIEU

je te donne maintenant ma vie

« Seigneur Jésus, je veux que tu aies la possibilité de faire tout ce que tu as prévu pour ma vie. Je sais que je t’appartiens. Par ma volonté et mon choix, je te donne maintenant ma vie.

« Je te prie de m’accorder la capacité de vivre une vie d’amour et de service pour toi, une vie que je souhaiterai avoir vécue quand je te verrai face à face dans le ciel. »

^haut

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