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Leçon 8 : Comment avoir une conscience claire (2e partie)

Comment avoir une conscience claire (2e partie)

verset-cle

La Bible a beaucoup de choses à dire concernant l’importance d’avoir une conscience claire.

· Une conscience claire est essentielle à la foi. Paul parle de conserver « le mystère de la foi dans une conscience pure ». Quand nous avons une conscience coupable, notre foi devient faible et inefficace.

· Une conscience claire est essentielle si nous voulons voir nos prières exaucées. La Bible dit :

« Bien-aimés, si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l’assurance devant Dieu. Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable. » (1 Jean 3.21, 22)

· Une conscience claire est essentielle à une bonne santé. Si notre conscience nous condamne, c’est comme si nous avions constamment un lourd fardeau sur les épaules.

· Une conscience claire est nécessaire si nous voulons établir de vraies amitiés. Il y aura des occasions où nous offenserons et blesserons des personnes. Si nous voulons garder leur respect et leur amitié, nous devons régler ce qu’il y a entre eux et nous.

· Une conscience claire est nécessaire pour un témoinage efficace. Si vous avez offensé quelqu’en et si vous n’avez j’aimais essaye de réparer vos torts enver lui, vous verrez qu’il vous sera impossible de lui té moigner efficacement.

· Par-dessus tout, une conscience claire est nécessaire si l’on veut jouir de la communion avec Dieu. Nous devons être en règle avec Dieu et avec nos semblables. Même la plus infime accusation de notre conscience nuira à notre communion avec le Seigneur.

Comment la conscience fonctionne-t-elle ?

Notre conscience est pour notre esprit comme une fenêtre par laquelle brille la lumière de Dieu

Notre conscience est l’endroit où Dieu exprime sa volonté et sa sainteté. C’est là que Dieu montre ce qu’il pense d’une certaine chose. Notre conscience discerne ce que Dieu pense de certains sujets. Une fois que nous savons dans notre conscience quelle est la volonté de Dieu sur un certain sujet, nous devons obéir.

Notre conscience est comme une « fenêtre » pour notre esprit. C’est par cette « fenêtre » que brille la lumière de Dieu, inondant notre âme de sa lumière et de sa vérité. Si nous obéissons à notre conscience, la « fenêtre » devient plus claire et plus transparente, et la lumière de Dieu peut briller de plus en plus.

Si on ne confesse pas les péchés, notre conscience devient sale et embuée

Si nous n’obéissons pas à notre conscience et si nous ne confessons pas les péchés qu’elle condamne, notre conscience, comme une fenêtre, devient alors sale et embuée. Plus le péché s’accroît, plus la saleté s’accroît, jusqu’à ce que la lumière de Dieu puisse à peine pénétrer dans notre esprit.

Si un croyant continue à désobéir à sa conscience, son cœur s’endurcira. Il en viendra à pouvoir pécher sans nullement ressentir de sentiment de culpabilité. C’est une triste condition pour un chrétien. La Bible dit :

« N’endurcissez pas vos cœurs [...] Mais exhortez-vous les uns les autres chaque jour, aussi longtemps qu’on peut dire : Aujourd’hui ! afin qu’aucun de vous ne s’endurcisse par la séduction du péché. » (Hébreux 3.8, 13)

Comment obéir votre conscience

Notre conscience s’occupe aussi bien du passé que de l’avenir. Non seulement elle nous condamne quand nous avons fait le mal, mais elle nous avertit aussi quand nous sommes sur le point de faire quelque chose qui déplaît au Seigneur.

NE LA FAITES PAS…CONFESSEZ-LE

Pour obéir à notre conscience, nous devons suivre deux règles très simples :

1. Si votre conscience vous avertit qu’il est mal de faire une certaine chose, NE LA FAITES PAS.

2. Si vous avez déjà fait quelque chose de mal, CONFESSEZ-LE aussitôt et réclamez la purification du sang de Jésus-Christ.

Quoi que ce soit que Dieu vous montre dans votre conscience, faites-le. Rien ne peut remplacer l’obéissance. Le Seigneur insiste sur notre obéissance.

Notre conscience est limitée par notre connaissance

Comment savoir ce qui est bien et ce qui est mal aux yeux de Dieu ? Une façon de le savoir, c’est par ce que Dieu dit dans sa Parole. Quand la Parole de Dieu nous dit qu’une certaine chose est bien, nous savons alors que c’est bien. Si la Parole de Dieu dit qu’une certaine chose est mal, nous savons alors que c’est mal.

Toutefois, habituellement, quand nous venons tout juste d’être sauvé, nous ne connaissons pas tellement la Bible. Il y a peut-être bien des choses dans notre vie que la Bible condamne, mais si nous ne connaissons pas la Parole de Dieu, nous ne nous rendons pas compte que ce sont des péchés.

Qu’est-ce que le Seigneur fait dans ce cas-là ? Il commence à nous montrer nos péchés, un par un. Le Seigneur est miséricordieux envers nous. Il ne nous montre pas tous nos péchés d’un coup. Il sait que cela serait trop décourageant pour nous. Il nous révèle plutôt nos péchés un par un.

Voici une merveilleuse vérité : un péché que l’on ne connaît pas ne nuit pas à notre communion avec le Seigneur. Si nous obéissons à ce que nous savons être la volonté de Dieu et si nous abandonnons ce que nous savons que Dieu condamne, nous pouvons jouir d’une parfaite communion avec lui. La Bible dit :

« Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. » (1 Jean 1.7)

Marcher dans la lumière

« Marcher dans la lumière », c’est obéir à la lumière que nous avons. Si nous obéissons à la lumière que nous avons, nous pouvons jouir de la communion avec Dieu.

Ce qui est important au sujet de notre communion avec Dieu, c’est notre attitude à l’égard de sa volonté. Si nous désirons sincèrement lui obéir, nous pouvons avoir une parfaite communion avec lui dès le début de notre vie chrétienne. Il peut y avoir plusieurs péchés dans notre vie, mais s’ils nous sont inconnus, ils sont couverts par le précieux sang de Jésus-Christ.

D’un autre côté, à partir du moment où Dieu nous montre un péché dans notre vie, nous devons le confesser et l’abandonner. Si nous nous permettons de garder un péché une fois que notre conscience l’a condamné, nous perdrons notre communion avec Dieu. Chaque jour où nous continuerons de faire quelque chose que notre conscience a condamné, nous serons privés de la communion avec le Seigneur.

Dans nos rapports avec les autres chrétiens, n’oublions pas qu’il y a différents degrés de connaissance parmi les enfants de Dieu. Certains chrétiens ne sont pas conscients de certains péchés que d’autres considèrent pourtant comme de graves péchés. Nous ne devrions ni rejeter ni juger ceux qui ne savent pas ce que nous savons. Nous devrions plutôt prier pour eux et essayer de les aider. Dieu ne nous rejette pas pour des péchés dont nous ne sommes pas conscients ; nous ne devrions pas non plus rejeter notre frère pour des péchés dont il n’est pas conscient.

N’essayez pas de faire taire ou de négliger votre conscience

Nous avons déjà mentionné les deux règles que nous devons suivre quand notre conscience nous parle. Répétons-les :

NE LA FAITES PAS…CONFESSEZ-LE

1. Si votre conscience vous avertit qu’il est mal de faire une certaine chose, NE LA FAITES PAS.

2. Si vous avez déjà fait quelque chose de mal, CONFESSEZ-LE aussitôt et réclamez la purification du sang de Jésus-Christ.

Malheureusement, beaucoup de chrétiens ne suivent pas ces simple règles. Ils essaient plutôt de faire taire la voix de leur conscience. Pour cela, ils emploient habituellement l’une ou l’autre des méthodes suivantes :

1. Persuader leur conscience.

Quelqu’un peut essayer de se convaincre lui-même qu’une chose est bien parce qu’elle semble si raisonnable. Il peut faire remarquer ce que les autres font ou parler à un autre chrétien pour l’amener à penser comme lui.

Nous ne devons pas laisser l’opinion d’une autre personne remplacer notre conscience.

Nous ne devons pas laisser l’opinion d’une autre personne remplacer notre conscience. Quelqu’un peut dire qu’il pense qu’il est tout à fait bien pour vous de faire une certaine chose, mais si votre conscience la condamne, c’est que c’est mal pour vous. Chaque fois que vous croyez qu’une chose n’est pas la volonté de Dieu pour vous, vous ne devez pas la faire. La Bible dit :

« [...] Tout ce qui n’est pas le produit d’une conviction est péché. » (Romains 14.23)

Nous devons comprendre qu’il ne faut pas discuter avec notre conscience. Notre conscience discerne ce que Dieu pense d’une certaine chose. Si notre conscience nous dit que c’est mal, c’est donc mal pour nous. Nous ne devons jamais essayer de faire taire la voix de notre conscience, car elle représente la volonté de Dieu pour nous.

2. Faire de bonnes œuvres.

Il peut être satisfait de lui-même

Une deuxième manière par laquelle quelqu’un peut essayer d’apaiser sa conscience, c’est en faisant beaucoup de bonnes œuvres. Même s’il n’obéit pas à Dieu, il pense que ce qu’il fait est tout aussi bien ou même mieux que ce que Dieu lui a dit de faire.

Il peut essayer de faire taire sa conscience en donnant de l’argent pour l’œuvre de Dieu, en aidant d’autres personnes ou en faisant d’autres bonnes œuvres. Il peut être satisfait de lui-même et considérer que ses œuvres sont très louables. Toutefois, s’il est désobéissant, elles n’ont aucune valeur aux yeux de Dieu.

Notre conscience réclame notre obéissance : rien d’autre ne peut plaire à Dieu. Dieu ne regarde pas les bonnes œuvres que nous faisons ni le montant d’argent que nous donnons pour sa cause, mais seulement notre obéissance. Rien ne peut remplacer l’obéissance. La Bible dit :

« [...] Voici, l’obéissance vaut mieux que les sacrifices [...]. » (1 Samuel 15.22)

Nous devons éviter la condamnation de Satan

Satan peut s’attaquer à notre conscience

En cherchant à avoir et à maintenir une conscience claire, nous devons être conscients du fait que Satan peut s’attaquer à notre conscience. C’est en nous accusant et en nous condamnant qu’il fait cela.

Satan met dans notre esprit des pensées comme celles-ci : « Tu as encore péché. Tu ne fais que cela. Tu n’es qu’un raté et c’est toujours ce que tu seras. Dieu ne peut pas aimer quelqu’un comme toi. »

Les attaques de Satan peuvent nous affaiblir au point où nous n’aurons plus la force de vivre. C’est pour cela qu’il est extrêmement important de vous rendre compte de son œuvre. Nous devons pouvoir faire la distinction entre la condamnation de Satan et la conviction du Saint-Esprit.

Voici quelques moyens qui nous permettent de faire la distinction entre l’œuvre de Satan et la conviction du Saint-Esprit :

· Les accusations de Satan sont décousues et continuelles.

Le Saint-Esprit nous éclaire, afin de nous faire clairement voir nos fautes.

· Les accusations de Satan n’ont que pour seul but de nous faire souffrir et de nous démolir.

Le but du Saint-Esprit est de nous édifier. Il nous montre nos péchés, afin que nous les confessions et les délaissions pour marcher dans les voies de Dieu.

· Les accusations de Satan reviennent continuellement même si nous avons confessé le péché.

Si la conviction vient du Saint-Esprit et si nous confessons ce péché à Dieu, il nous pardonne et il n’y a plus de conviction du Saint-Esprit à ce sujet.

Aucun péché au monde n’est trop grand pour ne pas être pardonné.

Satan s’attaque parfois à un chrétien en essayant de lui faire croire qu’il ne pourra jamais être pardonné pour certains péchés qu’il a commis. Croire cela, c’est croire au mensonge. Aucun péché au monde n’est trop grand pour ne pas être pardonné. La Bible dit :

« [...] Le sang de Jésus son Fils nous purifie de TOUT péché. Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de TOUTE iniquité. » (Jean 1.7, 9)

Quand Dieu dit « tout », il veut dire TOUT. Par sa mort sur la croix, le Seigneur Jésus a payé pour tous nos péchés.

Si vous avez l’impression que Satan vous attaque, résistez-lui au nom du Seigneur Jésus. Réclamez la puissante victoire du Calvaire. La Bible dit :

« [...] Résistez au diable, et il fuira loin de vous. » (Jacques 4.7)

Nous devons garder une conscience sensible

Si nous n’obéissons pas à notre conscience, nous nuisons à notre vie spirituelle

Il est des plus important que nous gardions une conscience sensible. Si nous prenons soin d’obéir à la voix de notre conscience, elle restera claire et sensible. Si nous n’obéissons pas à notre conscience, elle s’endurcira. Chaque fois que nous refusons d’écouter notre conscience et de lui obéir, nous nuisons à notre vie spirituelle. La Bible dit :

« Prenez garde, frères [...] qu’aucun de vous ne s’endurcisse par la séduction du péché. » (Hébreux 3.12, 13)

Evan Roberts, un homme dont Dieu s’est servi dans de nombreux réveils, aimait poser la question suivante : « Quand as-tu demandé pardon à quelqu’un pour la dernière fois ? » Si cela faisait très longtemps, il faisait remarquer qu’il devait sûrement y avoir quelque chose qui n’allait pas.

Il est très improbable qu’un chrétien puisse vivre très longtemps avec d’autres personnes sans offenser quelqu’un. La Bible dit :

« Nous bronchons tous de plusieurs manières [...] » (Jacques 3.2)

Nous gardons une conscience claire en marchant dans l’obéissance à Dieu

Étant donné que nous offenserons probablement quelqu’un à un moment ou à un autre, la question que nous devons nous poser est celleci : que ferons-nous à ce moment-là ? Serons-nous insensibles et orgueilleux, et refuserons-nous d’admettre que nous avons eu tort, ou nous humilierons-nous et demanderons-nous pardon ? Ce que Dieu veut, c’est que nous nous humilions et que nous réglions cela avec l’autre.

Nous devons prendre l’habitude de demander pardon aux autres et de restituer ce qu’on leur a fait perdre. Si nous confessons nos péchés à Dieu et si nous nous mettons en règle avec les autres, notre conscience demeurera claire et sensible. C’est ça, marcher dans l’obéissance à Dieu.

Voici quel était un des plus grands secrets de la vie victorieuse de Paul : il obéissait à sa conscience. Si sa conscience s’objectait à quelque chose, il chassait cette chose de sa vie. Paul pouvait sincèrement dire : « C’est en toute bonne conscience que je me suis conduit jusqu’à ce jour devant Dieu. »


Le Joyau Découverte

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