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Parole par Poste

La Vie Nouvelle en Jésus-Christ, cours 1

 

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La Vie Nouvelle en Jésus-Christ - cours 1

« […] Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde […]. » Jean 1.29

La mort de Jésus-Christ

Leçon 5 : La mort de Jésus-Christ

Cher ami,

À partir du moment où Adam et Ève ont péché, Dieu a commencé à enseigner à son peuple que quelque chose devait mourir à cause du péché. Dieu voulait par là lui faire comprendre à quel point le péché était une chose sérieuse à ses yeux. Il a montré que les péchés ne pouvaient pas être pardonnés sans effusion de sang.

La Parole de Dieu dit :

« […] Sans effusion de sang il n’y a pas de pardon. » Hébreux 9.22

Dieu a enseigné à son peuple qu’il devait offrir un sacrifice pour ses péchés. Dans la plupart des cas, ce sacrifice était un agneau. On offrait un agneau innocent en sacrifice pour les péchés d’une personne. On tuait l’agneau et on le faisait ensuite brûler en sacrifice sur un autel. Dieu enseignait par là la grande vérité suivante : sans effusion de sang, il n’y a pas de pardon.

Dans l’Ancien Testament, les sacrifices d’animaux étaient des types ou des images de la mort de Christ pour nous.

Le sang d’un animal peutil effacer nos péchés ? Non, c’est impossible. Ces sacrifices n’étaient que des types ou des images de la mort de Jésus-Christ sur la croix pour nous. Dieu enseignait ainsi son peuple qu’un jour son Fils viendrait dans le monde. Il serait innocent comme un agneau. Il mourrait sur la croix en sacrifice pour nos péchés.

Celui qui voulait être pardonné de ses péchés amenait un agneau au sacrificateur. Il posait ses mains sur la tête de l’agneau. En faisant cela, il s’identifiait à l’agneau et disait dans son cœur : « Ô Dieu, j’ai péché contre toi et je mérite la mort à cause de mes péchés. Je te remercie de ce que tu permets que cet agneau meure à ma place. »

Jésus est l’Agneau de Dieu

Jésus est l’Agneau de Dieu

Pendant des milliers d’années, le peuple de Dieu a sacrifié des agneaux comme Dieu lui avait dit de le faire. Il attendait avec foi la venue du Sauveur promis. Finalement, au temps marqué par Dieu, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est venu. Il est venu pour faire la volonté de son Père. Jésus a dit :

« Car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé. » Jean 6.38

C’était la volonté du Père que le Seigneur Jésus soit « l’Agneau de Dieu », celui qui devait mourir pour les péchés du monde. Quand Jean-Baptiste a vu Jésus, il s’est écrié :

« Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. » Jean 1.29

Jésus a prédit sa mort

Nous ne savons ni le temps, ni l’endroit, ni la manière dont nous mourrons. Mais Jésus savait où, quand et comment il allait mourir. Il savait aussi qu’il allait ressusciter des morts le troisième jour. Jésus a dit à ses disciples

« Voici, nous montons à Jérusalem, et le Fils de l’homme sera livré aux principaux sacrificateurs et aux scribes. Ils le condamneront à mort, et ils le livreront aux païens, pour qu’ils se moquent de lui, le battent de verges, et le crucifient ; et le troisième jour, il ressuscitera. » Matthieu 20.18, 19

A plusieurs occasions, la vie de Jésus a semblé en danger, mais chaque fois il disait : « Mon heure n’est pas encore venue. » Jésus savait que le moment de sa mort n’était pas encore arrivé.

Les chefs religieux haïssaient Jésus et cherchaient un moyen de le capturer afin de pouvoir le mettre à mort. Pourquoi le haïssaient-ils et cherchaient-ils à le faire mourir ? Ils le haïssaient parce qu’il se disait Dieu. Un jour, ils ont pris des pierres pour le lapider, mais Jésus leur a demandé : « Je vous ai fait voir plusieurs bonnes œuvres venant de mon Père : pour laquelle me lapidez-vous ? » Ils lui ont répondu :

« Ce n’est point pour une bonne œuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème, et parce que toi, qui es un homme, tu te fais Dieu » (Jean 10.32, 33).

La trahison et l’arrestation de Jésus

Judas, l’un des disciples de Jésus, était un traître. Il est allé trouver les chefs religieux et leur a offert de leur livrer Jésus pour trente pièces d’argent. Il leur a donné un signe. Il a dit qu’il allait saluer Jésus d’un baiser et qu’ils sauraient ainsi qui il était.

Jésus a prié que la volonté du Père s’accomplisse.

Jésus, sachant que l’heure de sa mort était proche, a pris un dernier repas avec ses disciples. Il leur a dit que l’un d’entre eux allait le trahir. La Bible nous dit que Satan est alors entré en Judas et que celui-ci est sorti à l’heure même pour aller livrer le Seigneur Jésus. Un peu plus tard, Jésus et ses disciples se sont rendus dans un endroit appelé Gethsémané.

Au jardin de Gethsémané, pendant qu’il pensait à la manière dont il allait s’offrir en sacrifice pour nos péchés, le Seigneur Jésus est tombé sur sa face et a fait la prière suivante : « Mon Père, s’il est possible, que cette coupe s’éloigne de moi ! » Son agonie était si grande que sa sueur devint comme des grumeaux de sang. Mais comme toujours, Jésus a choisi d’obéir à son Père. Il a prié : « […] Que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne. » (Luc 22.42)

Judas a trahi le Seigneur Jésus par un baiser.

Après cela, Jésus a dit à ses disciples que l’heure était venue où il allait être livré entre les mains des pécheurs. Pendant qu’il parlait encore, Judas est survenu avec toute une multitude de personnes qui avaient été envoyées par les chefs religieux pour s’emparer de Jésus. Judas a trahi le Seigneur Jésus par un baiser.

On a amené Jésus devant les chefs religieux. Quand le souverain sacrificateur lui a demandé s’il était le Fils de Dieu, Jésus a répondu : « Je le suis. » (Marc 14.62). Parce qu’il se disait être le Fils de Dieu, les chefs religieux l’ont condamné mort.

Ensuite on a amené Jésus devant Pilate, le gouverneur romain. Ce dernier l’a questionné au sujet des accusations qu’on avait portées contre lui et a découvert qu’il était innocent de toute faute. Il l’a donc amené devant les chefs juifs et leur a dit : « Je ne trouve rien de coupable en cet homme. » Mais les chefs juifs ont soulevé le peuple. Quand Jésus a été amené devant eux, ils ont crié, « Crucifie, crucifie ! »

« Je ne trouve rien de coupable en cet homme. »

Pilate se rendait bien compte que Jésus était innocent, mais il l’a quand même livré à la foule. Il a ordonné que Jésus soit battu de verges et crucifié.

Deux questions importantes

À ce point-ci, nous devons nous poser deux questions importantes :

Premièrement, qui avait rempli de haine et de meurtre le cœur des chefs religieux qui voulaient mettre Jésus à mort ? C’était Satan ! En arrière-plan, Satan utilisait les gens pour accomplir son dessin de se débarrasser de Jésus.

Deuxièmement, Jésus aurait-il pu éviter cette mort ? Très certainement. Il était « Dieu manifesté en chair ». Il avait le pouvoir de détruire tous ses ennemis. Mais il a choisi d’aller à la croix. Il a choisi de donner sa vie en sacrifice pour nos péchés. Il était prêt à mourir même pour ceux qui le haïssaient. Jésus a dit :

« Le Père m’aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même ; j’ai le pouvoir de la donner, et j’ai le pouvoir de la reprendre […]. » Jean 10.17, 18

La mort affreuse du Seigneur Jésus

Les soldats romains lui ont enlevé sa tunique et lui ont attaché les mains à un poteau. On l’a battu avec un fouet composé de plusieurs lanières de cuir. Les soldats attachaient au bout de ces lanières des morceaux d’os et de métal. Quand on a battu Jésus avec ce fouet, les morceaux d’os et de métal lui ont coupé la peau. Son dos est devenu tout ensanglanté. Beaucoup d’hommes sont morts après avoir été flagellés de cette manière.

on lui a mis sur la tête une couronne d’épines

Les soldats se sont moqués de Jésus et lui ont craché au visage. Ils lui ont mis un bandeau sur les yeux et l’ont frappé tour de rôle en se moquant de lui. La Bible nous dit que son visage était tout défiguré, plus que le visage d’aucun homme. Toujours pour se moquer de lui, on lui a mis sur la tête une couronne d’épines. Il a dû ensuite porter sur ses épaules la lourde croix sur laquelle il devait mourir.

Quand Jésus est arrivé au Calvaire, on l’a crucifié. On lui a cloué les mains et les pieds. On a aussi crucifié avec lui deux brigands, l’un à sa droite, l’autre à sa gauche. Ces hommes étaient des malfaiteurs. C’est pour leurs péchés qu’il mourait. Mais Jesus n’avait jamais rien fait de mal. C’est pour nos péchés qu’il mourait.

Il avait payé la peine de nos péchés

Quand Jésus était pendu à la croix, il pouvait voir les hommes qui l’avaient battu, qui s’étaient moqués de lui, qui avaient cloué ses mains et ses pieds à la croix. Il a cependant levé les yeux vers le ciel et a dit : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. » Dans son agonie, Jésus s’est écrié : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » (Matthieu 27.46)

Un des brigands crucifié avec Jésus se moquait de lui et blasphémait, mais l’autre l’a repris en disant : « Ne crainsto pas Dieu ? Nous sommes ici parce que nous méritons cette condamnation, mais cet homme n’a rien fait de mal. »

« Seigneur, souviens-toi de moi, quand to viendras clans ton règne. »

Il a dit ensuite à Jésus : « Seigneur, souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne. » Jésus s’est alors tourné vers lui et lui a dit : « […] Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis. »

Jesus a été crucifié vers neuf heures du matin. Il est mort vers trois heures de l’après-midi. De midi jusqu’à trois heures, il y a eu des ténèbres sur toute la terre. Juste avant de mourir, Jésus s’est écrié : « Tout est accompli. » Il avait terminé l'œuvre qu’il était venu accomplir. Il avait payé la peine de nos péchés.

Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu, a souffert et est mort pour nos péchés

L’ensevelissement de Jésus

Quand des hommes se faisaient crucifier il était habituel de descendre leurs corps de la croix au coucher du soleil. Au cours de l’après-midi, les soldats romains leur brisaient les jambes pour hâter leur mort. Mais la Bible avait prophétisé qu’aucun des os du corps du Sauveur ne serait brisé.

il a préparé tendrement le corps de Jésus pour l’ensevelir

Le soldat romain a d’abord brisé les jambes du premier brigand. Il a ensuite rompu celles de l’autre. Mais quand il est arrivé à Jesus, il a vu qu’il était déjà mort et ne lui a donc pas brisé les jambes. Il a plutôt pris sa lance et lui a percé le côte. Il en est sorti du sang et de l’eau.

Un homme du nom de Joseph d’Arimathée a demandé le corps de Jésus. Avec Nicodème, un de ses amis, il a préparé tendrement le corps de Jésus pour l’ensevelir. Ils ont placé le corps de Jésus dans un nouveu séplecre taillé dans le roc. Ils ont ensuite roulé une lourde pierre devant l’entrée.

Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu, a souffert et est mort pour nos péchés

Pourquoi Jésus devait-il mourir ?

Beaucoup de personnes ne comprennent pas pourquoi Jésus devait mourir sur la croix. Ils disent : « Pourquoi Dieu n’aurait-il pas pu tout simplement nous pardonner ? Pourquoi Jésus devait-il mourir ? »

La raison pour laquelle Dieu ne pouvait pas « tout simplement nous pardonner », c’est qu’il est le juste juge de l’univers et que nous avons enfreint ses lois. C’est lui qui a dit : « […] L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra. » (Ézéchiel 18.4). Dieu doit faire respecter ses saintes lois. La Bible dit :

« L’Éternel est juste dans toutes ses voies, et miséricordieux dans toutes ses œuvres. » Psaume 145.17

Nous avons péché ; nous méritons donc la mort. Dieu nous aime et veut nous sauver, mais il ne peut pas agir de façon injuste. Ce que Dieu fait doit toujours être en accord avec tous ses attributs y compris sa droiture et sa justice.

Si Dieu devait fermer les yeux sur nos péchés pour nous recevoir dans le ciel, il ferait preuve d’amour, mais il ne serait pas juste. D’un autre côté, s’il exécutait la sentence de la loi et nous envoyait en enfer, il serait juste, mais ne ferait pas preuve d’amour. Mais Dieu est à la fois juste et aimant. Ce qu’il fait doit satisfaire aussi bien sa justice que son amour. Dieu dit qu’il est un « […] Dieu juste et qui sauve » (Ésaïe 45.21).

À la croix, nous voyons la justice et l’amour de Dieu

Comment Dieu peut-il nous sauver tout en maintenant sa justice ? II l’a fait en prenant sur lui notre condamnation et en payant la peine de nos péchés.

Un jour, on amena un vieil homme devant le tribunal. Il était accusé d’avoir volé une miche de pain. Quand le juge lui demanda si l’accusation portée contre lui était vraie, le vieil homme reconnut qu’il avait volé, mais il ajouta : « J’avais faim. »

Le juge était un homme sage

Le juge était un homme sage et bon qui aimait les gens. Il dit à l’accusé, « Monsieur, je sympathise avec vous, mais vous avez enfreint la loi. Vous devrez payer l’amende ou aller en prison. »

Le vieil homme baissa les yeux et dit en hochant la tête : « Je n’ai pas d’argent. Je ne peux pas payer l’amende. »

Le juge eut alors un geste admirable. Il enleva sa tunique de juge, la posa sur la chaise et vint se placer à côté de l’homme. Mettant sa main sur son épaule il lui dit : « En tant que juge je dois vous condamner ; mais en tant qu’ami je veux payer l’amende à votre place. » Le juge sortit de l’argent de son porte-feuille et paya l’amende de l’homme.

Nous sommes comme cet homme qui a enfreint la loi et qui ne peut pas payer. Nous avons enfreint les saintes lois de Dieu et nous méritons notre condamnation. Mais Dieu le Fils a déposé sa tunique de juge et est venu dans ce monde afin de payer la peine pour nos péchés.

La vérité la plus précieuse de toute la Bible, c’est que le Fils de Dieu nous a aimés au point de quitter le ciel pour devenir un homme afin de pouvoir mourir pour nos péchés. Étant donné que Jésus-Christ a payé la peine pour nos péchés, Dieu peut, en toute justice, pardonner à ceux qui acceptent Jésus-Christ comme Sauveur. Dieu ne ferme pas les yeux sur nos péchés, mais il peut nous les pardonner parce qu’il voit le sang de son Fils qui a été versé pour nos péchés.

Nous devons prendre Jésus comme notre agneau

Nous avons vu qu’il ne peut pas y avoir pardon des péchés sans effusion de sang. Dans l’Ancien Testament, Dieu exigeait que son peuple offre un agneau en sacrifice pour ses péchés. Ils étaient pardonnés parce que l’agneau mourait pour leurs péchés.

Cela veut-il dire que nous devons offrir un agneau en sacrifice pour nos péchés ? Pas du tout. Dieu ne veut pas que nous agissions ainsi. Il veut plutôt que nous nous rendions compte qu’il a déjà pourvu pour nous à un agneau : le Seigneur Jésus. Il nous dit : « Voici l’Agneau de Dieu qui est mort pour ôter tous vos péchés. »

Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu, a souffert et est mort pour nos péchés

Le sacrifice parfait pour nos péchés a déjà été offert. Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu, a souffert et est mort pour nos péchés. La Bible dit :

« Cependant, ce sont NOS souffrances qu’il a portées, C’est de NOS douleurs qu’il s’est chargé […] Mais il était blessé pour NOS péchés, Brisé pour NOS iniquités ; Le châtiment qui NOUS donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par SES MEURTRISSURES que NOUS sommes guéris. » Ésaïe 53.4, 5

Relisez ces versets jusqu’à ce que vous compreniez clairement que le Seigneur Jésus a souffert et est mort pour vos péchés et que c’est par sa mort que vous pouvez être « guéri »—pardonné de vos péchés.

Il n’est pas suffisant de savoir que Jésus est mort pour les péchés du monde. Vous devez vous rendre compte qu’il est mort pour vos péchés. Vous devez vous identifier à lui et le prendre comme votre « agneau. »

Dans l’Ancien Testament, celui qui avait péché devait mettre ses mains sur la tête de l’agneau, s’identifiant ainsi à l’agneau qui allait mourir. Nous devons, par la foi, placer nos mains sur Jésus, l’Agneau de Dieu, en comptant sur le fait qu’il a souffert et qu’il est mort pour nos péchés et à notre place.


Vérité Découverte


Pour des études supplémentaires Leçon 5 : La mort de Jésus-Christ

Leçon 5 : La mort de Jésus-Christ

Lisez :

Ésaïe 53, Matthieu 27, Marc 15, Luc 23, Jean 19


Les Dix Commandements

Cinquième commandement

« Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l’Éternel, qu’il ton Dieu, te donne. » Exode 20.12

Dieu s’intéresse à la manière dont nous traitons nos parents. Il nous commande d’honorer notre père et notre mère. « Honorer » nos parents, c’est les aimer, les respecter et leur obéir. Pourquoi devrions-nous honorer nos parents ? Nous devons-nous honorer nos parents parce que Dieu nous l’a commandé.

Les parents représentent l’autorité de Dieu dans le foyer. Ce que Dieu a prévu pour la famille, c’est que le père soit le chef de la famille après Dieu. La femme doit être Par ses soumise à son mari, et les enfants à leurs parents.

La Bible nous dit qu’un des signes des derniers jours sera que les gens désobéiront à leurs parents et leur manqueront de respect. La Parole de Dieu dit :

« Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l’argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents […]. » 2 Timothée 3.1, 2

Dieu nous dit : « Honore ton père et ta mère. » Ce commandement a cependant une limitation de temps. Pour la plupart des gens, le jour vient où leur père ou leur mère meurt. Vous aurez vraiment des regrets en ce jour-là si vous ne leur avez pas manifesté l’amour et le respect qui leur étaient dus.

Sixième commandement

« Tu ne tueras point. » Exode 20.13

Voyons d’abord ce que ce commandement ne veut pas dire. Il n’interdit pas de tuer des animaux pour les manger. Il n’interdit pas non plus de tuer quelqu’un dans un cas de légitime défense. Il n’interdit pas non plus de mettre légalement quelqu’un à mort pour un meurtre. C’est Dieu lui-même qui a institué la peine de mort pour celui qui tue quelqu’un d’autre. Dieu a dit :

« Si quelqu’un verse le sang de l’homme [tue quelqu’un d’autre], par l’homme son sang sera versé […]. » Genèse 9.6

Ce que ce commandement interdit, c’est d’enlever la vie de quelqu’un d’autre pour de mauvais motifs. L’homme a été créé à l’image de Dieu et il a une âme éternelle. Sa vie a donc une valeur inestimable.

Vous vous dites peut-être : « Voilà au moins un commandement que je n’ai pas enfreint. Je n’ai jamais tué personne. » Il y a en fait très peu de gens qui ont assassiné quelqu’un d’autre, mais la Bible dit que le meurtre commence dans le cœur. Jésus a dit :

« Car c’est du dedans, c’est du cœur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les débauches, les MEURTRES. » Marc 7.21

Avez-vous déjà haï quelqu’un ? Avez-vous déjà été si en colère que vous avez voulu faire mal à quelqu’un ? Si oui, vous avez enfreint le sixième commandement. La Bible dit :

« Quiconque hait son frère est un meurtrier. […]. » 1 Jean 3.15

Septième commandement

« Tu ne commettras point d’adultère. » Exode 20.14

Au commencement, Dieu a créé un homme et une femme. Ils étaient engagés l’un envers l’autre pour la vie. Voilà l’ordre de Dieu pour le mariage : un homme et un femme engagés l’un envers l’autre pour la vie.

Dieu a donné le sexe à la fois comme moyen de procréation et comme source de plaisir. Par les relations sexuelles, un homme et une femme peuvent exprimer pleinement leur amour l’un pour l’autre.

C’est un des grands privilèges du mariage. Pour protéger cette bénédiction du mariage Dieu a donné le septième commandement : « Tu ne commettras point d’adultère. »

Ce commandement interdit toute impureté sexuelle. Une personne qui commet l’adultère est une personne qui a des relations sexuelles avec une personne autre que son conjoint. La fornication, ce sont des relations sexuelles entre un homme et un femme qui ne sont pas mariés. L’adultère et la fornication sont tous deux condamné par Dieu, comme d’autres péchés sexuels.

Dieu regarde non seulement nos actions, mais aussi les pensées et les intentions de notre cœur. Vous n’avez pas à commettre l’acte lui-même pour être coupable d’avoir enfreint ce commandement. Si vous avez regardé une femme pour la convoiter, vous avez enfreint le septième commandement. Jésus a dit :

« […] Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son cœur. » Matthieu 5.28

Huitième commandement

« Tu ne déroberas point. » Exode 20.15

Dérober, c’est prendre quelque chose qui ne nous appartient pas. Examinons certains faits concernant le vol :

Voler, c’est voler, quel que soit le montant ou la valeur de la chose volée.

Voler est un péché, même si personne ne découvre le vol.

Voler un riche, c’est un péché autant que voler un pauvre. Certaines personnes qui ne voleraient jamais un autre individu ne se gênent cependant pas pour voler une grosse compagnie ou le gouvernement. Mais il n’y a pas de différence ; c’est voler également.

Il y a aussi d’autres formes de vol. Celui qui triche à un examen vole une information qui ne lui appartient pas. Celui qui reçoit plus de monnaie que ce qui lui revient et qui ne dit rien vole. Celui qui ne paie pas ses dettes vole également.

Si vous êtes coupable de vol, vous pouvez être pardonné pour ce péché, mais Dieu vous demandera de faire ce qui est en votre pouvoir pour vous mettre en règle avec ceux ou celles que vous avez volés.

Une des premières choses qu’une personne devrait faire après être devenue chrétienne, c’est de se mettre en règle avec ceux à qui elle a fait tort d’une manière ou d’une autre. Les larmes et les excuses ne serviront pas à grand-chose tant que vous ne serez pas prêt à redresser les torts que vous avez causés.

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