Isabelle et Marc jouent au ballon dans la cour. Soudain, ils entendent un faible son.

« Écoute ! dit Marc. Qu’est-ce que c’est ? » Le faible son recommence.

« C’est un petit chat ! » s’exclame Isabelle, en se précipitant vers la haie. « Trouvons-le. » Isabelle et Marc regardent dans la haie, mais … pas de chat !

Marc regarde dans l’arbe près de la haie. « Le voilà ! » s’écrie-t-il.

Puis il lève les bras le plus haut possible, mais n’arrive pas à atteindre le chaton.

Sur ce, il part en courant et ne tarde pas à revenir avec une chaise qu’il a prise sur la terrasse.

La plaçant tout contre l’arbre, Marc monte dessus, tandis qu’Isabelle la tient fermement. Ensuite, tendant les mains, Marc prend le petit chat dans ses bras.

Isabelle caresse le doux pelage gris du chaton. « Oh ! Comme il doit avoir faim, dit-elle. Donnons-lui un peu de lait. »

Sans perdre un instant, ils emportent le chaton dans la cuisine et demandent à maman un bol de lait, que le chaton avale goulûment ; puis, se roulant en boule sur les genoux d’Isabelle, il s’endort.

« Pouvons-nous le garder, maman ? » demande Marc.

« Nous verrons, répond maman. Demain, nous demanderons aux voisins si le petit chat leur appartient. »

« Il doit être perdu depuis longtemps, dit Marc, car il est bien maigre. »

« Je n’aimerais pas être perdue », dit Isabelle.

Maman dépose sa couture. « Non, ce n’est pas agréable d’être perdu comme ce petit chat, dit-elle. Mais il y a une autre façon de se perdre. La Bible nous dit que tous ceux qui n’acceptent pas Jésus comme Sauveur sont perdus et qu’ils ne peuvent pas entrer au ciel. »

« Dieu ne veut pas que nous soyons perdus, n’est-ce pas, maman ? » demande Marc.

« Non, Marc, répond maman. Dieu nous aime. C’est pour cela qu’il a envoyé son Fils, le Seigneur Jésus, dans le monde. Jésus est venu pour chercher et sauver les gens qui sont perdus. »

« Raconte-nous l’histoire de Jésus mort sur la croix », demande Marc.

« Je la connais. Laisse-moi la raconter, maman », supplie Isabelle tout excitée.

Maman fait oui de la tête, et Isabelle commence: « Jésus nous a tant aimés qu’il devait absolument descendre du ciel pour nous aider. Il est venu sur la terre comme un bébé. Et, une fois devenu grand, il est mort sur la croix pour nous, afin que nous puissions aller au ciel. Mais il n’est pas resté mort. Il est ressuscité et vit encore dans le ciel aujourd’hui. »

« Oui, mes enfants, dit maman. Dans la Bible, Dieu nous dit que nous avons tous péché. Cela veut dire que nous avons fait de mauvaises choses. Or, le péché doit être puni. Mais, parce que Jésus nous aime, il a pris notre punition sur lui. Il est mort sur la croix pour vos péchés et pour les miens. »

« Comme je suis heureuse que Jésus m’aime, dit Isabelle, mais je le suis bien plus encore parce que je lui ai demandé de venir dans mon cœur. »

Marc est silencieux, puis il dit : « Je sais que j’ai fait de mauvaises choses. Je veux accepter Jésus comme mon Sauveur, mais je ne sais pas comment. »

Maman lui vient en aide : « Dis à Jésus que tu as péché et que tu regrettes tes péchés. Remercie-le de son amour pour toi et de ce qu’il est mort sur la croix pour tes péchés. Demande-lui de venir dans ton cœur et de devenir ton Sauveur. Veux-tu faire cela tout de suite ? »

« Oh ! oui, je le veux ! » répond Marc. Et, courbant la tête, il prie :

« Seigneur Jésus, je sais que j’ai péché, et je suis vraiment désolé pour tous les péchés que j’ai commis. Merci de m’aimer tellement que tu es mort sur la croix pour mes péchés. S’il te plaît, Jésus, viens dans mon cœur. Je t’accepte maintenant comme mon Sauveur. »

Marc relève la tête et sourit. « C’est merveilleux, Marc ! s’exclame maman. Je suis si heureuse que tu aies accepté Jésus comme Sauveur ! »

« Moi aussi, je suis heureux, car maintenant j’appartiens à Jésus », répond Marc.

« Je suis heureuse d’appartenir à Jésus, moi aussi », dit Isabelle, qui s’empresse d’ajouter : « Et, tu sais, maman, je crois que le petit chat aimerait bien nous appartenir, tu ne penses pas ? »

Maman sourit : « Oui, Isabelle, je crois qu’il aimerait ça. »

« C’est un petit chat tellement fripon, dit Marc. Hé ! J’ai une idée ! On pourrait l’appeler Fripon ! »

« Oh ! Oui ! » dit Isabelle. Puis, serrant le petit chat sur son cœur, elle ajoute : « Petit Fripon, j’espère que tu vas nous aimer autant que nous t’aimons. »

« Cela me fait penser à un verset de la Bible que j’aimerais que vous appreniez, dit maman. Ce verset nous dit que le Seigneur Jésus nous aime tellement que nous aussi nous devrions l’aimer. »

Marc et Isabelle aiment beaucoup le verset, et ils ont vite fait de l’apprendre.

« Je vais l’écrire sur une carte et lui trouver un endroit spécial dans ma chambre », dit Marc.

« Moi aussi ! s’écrie Isabelle. J’aime vraiment beaucoup ce verset ! »

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Apprends ce verset par cœur :

Si tu n’es pas sûr d’être sauvé, demande au Seigneur Jésus de venir dans ton cœur, comme Marc. Et si tu fais cela, n’oublie pas de nous le mentionner sur le questionnaire.

Un des noms de Jésus est « le bon berger ». Quand nous acceptons Jésus comme notre Sauveur, il devient notre « bon berger ». Nous pouvons dire alors : « L’Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien. »

Un bon berger connaît ses brebis. Le Seigneur Jésus connaît chacun de ceux qui ont cru en lui. Il a dit : « Je suis le bon berger. Je connais mes brebis. »

Un bon berger aime ses brebis. Le Seigneur Jésus nous aime tellement qu’il est mort pour nous. Il a dit : « Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. »

Un bon berger prend soin de ses brebis. Si une brebis ou un agneau sont blessés, le berger en prend soin jusqu’à leur guérison. Et le Seigneur prend soin de nous également.

Un bon berger protège ses brebis. Il les protège des loups, des ours, des lions et des autres animaux sauvages. Le soir, il emmène ses brebis se reposer en lieu sûr. Et si une brebis ou un agneau est perdu, il le cherche jusqu’à ce qu’il l’ait trouvé.

Le Seigneur Jésus protège ses brebis. Il a dit : « Mes brebis entendent ma voix ; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. » Cela signifie que personne ne pourra jamais nous éloigner du Seigneur Jésus.

Et TOI, as-tu accepté le Seigneur Jésus comme TON Sauveur ? Si oui, alors tu peux dire : « L’Éternel est MON berger et personne ne peut me ravir de sa main. »

(Extrait du Psaume 23 et de Jean 10)

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