en vertu d'un accord spécial avec
L'amour, les fréquentations et le mariage
en vertu d'un accord spécial avec
Leçon 6 : Des rapports sexuels sûrs, est-ce possible ?
Les faits au suject des MST (maladies sexuellement transmissibles)
Tous les parents se tuent à répéter à leurs enfants de ne pas jouer avec le feu, sinon ils finiront par se brûler. Toutefois, la triste vérité, c'est que beaucoup de jeunes ne tiennent aucun compte de ces avertissements ; il ne faut donc pas s'étonner qu'il se produise des tragédies et des accidents dans lesquels beaucoup de personnes sont gravement brûlées. Ces accidents laissent des cicatrices physiques, mentales et émotionnelles à vie.
L'horreur d'avoir été grièvement brûlé peut rester imprimée à jamais dans la mémoire de ceux qui ont vécu cette tragédie ; ils se rappellent alors avec regret combien il était insensé et stupide d'ignorer tous les avertissements.
Il existe actuellement quelque chose qui est pire que le feu et qui a des conséquences bien plus graves, une chose avec laquelle malheureusement des millions de jeunes et d'adultes jouent aujourd'hui. Il s'agit de la promiscuité sexuelle, ou des relations sexuelles préconjugales (avant le mariage) ou extraconjugales (en dehors du mariage). Chaque fois qu'une personne dit « Oui » aux relations sexuelles préconjugales ou extraconjugales, elle se laisse entraîner à jouer à des jeux sexuels dont les ravages sont tout aussi dévastateurs que les pires brûlures, sinon plus.
À vrai dire, chaque fois qu'une personne dit « Oui » aux relations sexuelles hors mariage, c'est comme si elle jouait avec le feu. En effet, en te livrant à la promiscuité sexuelle, ou à des rapports sexuels en dehors du mariage, tu risques de gâcher ta vie en attrapant une maladie sexuellement transmissible (MST).
Les MST (connues au Québec comme MTS, maladies transmises sexuellement) sont très répandues. Celle que l'on craint le plus est le sida, mais il y a aujourd'hui plus de 50 autres MST, sans compter les nouvelles maladies qui se déclarent chaque année. Considérons quelques-unes des plus connues.
L'herpès est une maladie relativement récente et très contagieuse. Les symptômes apparaissent géntralement au bout de 2 à 30 jours après avoir eu des relations sexuelles. Cependant, malgré le fait que certaines personnes ne présentent aucun symptôme, elles n'en sont pas moins infectées comme les autres.
L'herpès est causé par un virus pénétrant dans le corps par une fissure de la peau ou d'une membrane muqueuse. Il produit sur les organes génitaux et sur la bouche des vésicules (petites verrues) qui s'accompagnent de douleurs et de démangeaisons. Même si ces vésicules disparaissent au bout d'environ trois semaines, elles reviendront plus tard, car l'herpès est toujours présent.
On ne peut pas guérir l'herpès. Un médecin a dit : « L'herpès ne vous tuera pas, mais vous ne pourrez pas le tuer non plus. » Une mère atteinte d'herpès peut le transmettre à son bébé pendant l'accouchement.
Une jeune fille de 17 ans a contracté l'herpès au cours de sa première expérience sexuelle. Dans son cas, le cycle menstruel déclenche l'éruption de l'herpès. Les vésicules persistent environ 16 jours. Cette jeune fille peut s'attendre à avoir ces lésions douloureuses et ces démangeaisons 16 jours sur 30 pour le reste de sa vie.
La peine que vivent les patients qui souffrent d'herpès est en partie due au fait qu'ils sont convaincus d'être devenus de la marchandise endommagée. Elizabeth Herz, de l'université George Washington, mentionne de « profonds sentiments de culpabilité » chez les femmes qui ont contracté la maladie, et elle entend toujours le même refrain, c'est-à-dire que ces femmes ont le sentiment d'être sales, souillées. « Nous sommes en quête de quelqu'un à aimer », dit une artiste. « Les chances d'être aimée dans ce monde sont déjà bien minces, et si vous y ajoutez l'herpès, vous ne manquerez pas de vous dire : "Pourquoi quelqu'un voudrait-il de moi maintenant ?" » Un médecin, à Amityville, dans l'État de New York, affirme que cette même pensée pessimiste s'est étendue aux nombreux adolescents qui souffrent d'herpès. Les jeunes qui viennent le voir dans son cabinet, lui disent, en effet : « Personne ne voudra jamais se marier avec moi. »
Les cas signalés de jeunes femmes qui souffrent d'herpès génital connaissent aujourd'hui une hausse alarmante, qui se chiffre par millions. Ces jeunes femmes vont devoir faire face à cette maladie douloureuse et gênante le reste de leur vie.
La syphilis fait partie d'une des plus anciennes MST, mais elle n'en continue pas moins d'accomplir son œuvre mortelle. Quelques semaines après avoir eu des relations sexuelles, une plaie d'un rouge brun apparaît sur la bouche ou sur les organes génitaux. Au bout d'une à cinq semaines, la plaie disparaît, mais la syphilis n'en demeure pas moins présente.
Si elle n'est pas traitée, la syphilis peut causer la paralysie, la cécité, des lésions au cœur, des dommages au cerveau et la mort. Une mère peut transmettre la syphilis à son bébé pendant l'accouchement. La syphilis peut se guérir, mais tu peux l'attraper autant de fois que tu as des relations sexuelles avec quelqu'un qui en est atteint.
La blennorragie existe depuis pas mal de temps. Les symptômes apparaissent généralement entre 2 et 21 jours après avoir eu des relations sexuelles. La plupart des femmes, et beaucoup d'hommes, bien que ne montrant aucun symptôme, sont néanmoins atteints de la maladie et risquent de la propager.
Quand les symptômes font leur apparition, les hommes éprouvent habituellement une sensation de brûlure lorsqu'ils urinent. Les femmes peuvent ressentir une légère brûlure et des démangeaisons. Chez les personnes qui présentent des symptômes, ces derniers disparaissent souvent pendant un certain temps. Cela ne veut pas dire que la maladie ait, elle aussi, disparu. Il n'en est rien : elle n'a fait que s'éclipser pour tramer dans l'ombre son œuvre de mort.
Non traitée, la blennorragie peut causer de l'arthrite, des troubles cardiaques, des maladies de la peau, la cécité et la stérilité. À cause de la blennorragie, beaucoup d'hommes et de femmes ne peuvent plus avoir d'enfants.
Il fut un temps où on pouvait facilement venir à bout de la blennorragie au moyen d'injections de pénicilline, mais il existe maintenant une nouvelle souche de gonocoque qui est pénicillorésistante. Tu peux être réinfecté(e) par la blennorragie autant de fois que tu as des relations sexuelles avec quelqu'un qui en est atteint.
La MST qui se répand le plus rapidement est la chlamydia. Chaque année, de trois à dix millions de gens contractent cette « nouvelle » maladie. La plupart d'entre eux, tant hommes que femmes, ne présentent pas le moindre symptôme. La seule façon dont ils apprennent qu'ils risquent de l'avoir, c'est par la bouche de leur partenaire.
Certains hommes éprouvent une sensation de brûlure lorsqu'ils urinent. Les femmes peuvent ressentir des démangeaisons vaginales et une légère fièvre. Si tu penses être atteint(e) de chlamydia, le seul moyen d'en être sûr(e), c'est de subir un test médical.
On peut guérir de la chlamydia, pourvu qu'on s'y prenne à temps. Toutefois, non traitée, elle risque de causer une infection plus sévère. Les organes reproducteurs peuvent être endommagés de façon permanente. Les hommes aussi bien que les femmes peuvent ne plus être capables d'avoir des enfants. Une femme peut transmettre cette maladie à son bébé pendant l'accouchement, si bien que son enfant risque de naître avec des maladies des yeux et des poumons.
« Ce virus exerce maintenant ses ravages », dit le Dr Stephen Curry, du Centre médical de la Nouvelle-Angleterre, à Boston. « Si ce n'était du sida, cette maladie ferait la une des journaux. » Le Dr Curry parle du VPH, une maladie relativement nouvelle et à propagation rapide, qui affecte aujourd'hui des millions de gens dans le monde.
Le VPH (nommé ainsi d'après le virus responsable de la maladie) représente une menace particulière pour les adolescentes. Transmise sexuellement, cette maladie est douloureuse et souvent incurable. Les signes principaux, tant chez les hommes que chez les femmes, sont des verrues génitales ou condylomes. C'est pour cela qu'on qualifie souvent cette maladie de « condylomes » ou « verrues génitales ».
Les traitements classiques ne peuvent pas venir à bout du VPH, et la maladie peut donc subsister sans symptômes apparents pendant des années ; puis les verrues réapparaissent. Le pire, c'est que certains types de VPH ont été associés au cancer du col, de l'utérus et à d'autres formes de cancers. Ceux qui sont porteurs du virus et qui n'ont pas de verrues ignorent souvent qu'ils sont atteints de cette maladie. Ils ne se rendent pas compte du risque qu'ils sont pour eux-mêmes et pour leurs partenaires sexuels.
Oui, en vérité, les adolescents paient le prix
On a dit que les relations sexuelles entre adolescents sont spontanées et basées sur la passion du moment, et non sur la réflexion et la raison. Ils ne s'inquiètent ni du sida ni d'autres MST, parce qu'ils croient que cela ne leur arrivera jamais. Malheureusement, cela leur arrive ! Chaque jour, des milliers de jeunes sont infectés par l'une ou l'autre des MST tant redoutées. Voici ce que dit l'Organisation mondiale de la santé au sujet des maladies sexuellement transmissibles :
On ne connaît pas l'étendue de l'épidémie, étant donné que seule une partie des cas est signalée aux responsables de la santé. Les experts pensent qu'au moins 25 MST frappent des millions de gens chaque année, principalement des adolescents et des jeunes adultes.
On ne peut pas écarter les MST comme un ensemble de « maladies sociales » contrôlables. Les plaies génitales ouvertes, que beaucoup de MST causent, peuvent être les portes ouvertes au virus du sida. Si elles ne sont pas traitées, les MST peuvent entraîner des conséquences très graves, y compris des lésions au cœur et des défauts de naissance.
Comme tout être humain, les adolescents paient le prix pour des relations sexuelles illicites. Comme les autres, ils pensent : « Cela peut arriver aux autres, mais pas à moi. » Et comme les autres, ils sont en état de choc quand ils découvrent qu'ils sont atteints d'une MST incurable.
Après une réunion de son école secondaire, une jeune fille rattrapa Dave Rœver, conseiller pour jeunes très connu, au moment où il s'apprêtait à monter dans sa voiture. En pleurant, elle lui murmura : « Je vous en supplie, racontez à tous les jeunes de cette nation ce que vous nous avez dit aujourd'hui, à savoir que "la virginité n'est pas un terme offensant" ».
Quand Dave lui demanda pourquoi elle pleurait, elle répondit : « M. Rœver, j'ai 16 ans, mais je n'ai plus aucun espoir. »
« Oui, tu en as ! Tu as toute la vie devant toi ; tu as sûrement de l'espoir ! »
« Non, M. Rœver, j'ai le sida. »
Pour résumer ...
Chaque fois que tu dis « Oui » à des relations sexuelles hors mariage, c'est comme si tu jouais avec le feu. Jouer au jeu de la promiscuité sexuelle, c'est risquer de gâcher ta vie en attrapant une MST.
Citation digne d'être retenue
« Réduire le risque n'est pas la même chose qu'éliminer le risque [...]. La vérité est que les médecins ne peuvent pas guérir la plupart des maladies que tu peux attraper. »
Dr Robert C. Noble
Médecin de maladies infectueuses
« Si seulement j'avais attendu ... »
Je souffre d'herpès. Il n'y a rien que je puisse faire pour m'en débarrasser. Je l'aurai toute ma vie. Je souhaiterais pouvoir échapper à la douleur et à la honte.
J'en suis affligé depuis des années. Cela se manifeste par des éruptions sur mon pénis (comme des boutons de fièvre sur la bouche, mais beaucoup plus douloureux et plus irritants). L'herpès vous gratifie d'un lot d'à-côtés, tels que la solitude, la crainte que les autres découvrent votre secret, l'impossibilité de prévoir la prochaine crise, l'embarras, une pauvre estime de soi, une tension impossible à imaginer et de l'amertume. À cela, il faut ajouter la peur de devoir confier votre secret à la jeune fille que vous aimeriez épouser, la peur de lui transmettre la maladie et la peur que vos enfants ne l'attrapent à la naissance.
Je ne voulais pas transmettre ma maladie à quelqu'un d'autre, par conséquent, je me suis gardé de sortir avec des filles pendant longtemps. Toutefois, quand d'aventure cela m'arrivait, je ne me permettais pas de me mettre dans une situation potentiellement dangereuse sur le plan sexuel.
Pourquoi est-ce que je m'expose au risque d'être embarrassé en déterrant mes blessures passées et présentes pour les partager avec toi ? Pour une raison. C'est afin que tu ne troques pas un merveilleux cadeau (le cadeau des premières relations sexuelles que tu offriras à ton mari, ou à ta femme, pendant votre lune de miel) contre une expérience sexuelle avilissante et dépourvue de signification.
On peut dire que j'ai été chanceux. Après bien des années, j'ai rencontré une jeune fille que j'aimais beaucoup. Elle aussi me trouvait à son goût. Nous avons commencé à nous voir de plus en plus souvent, et l'amour a grandi entre elle et moi. Je désirais lui demander de m'épouser, mais mon terrible secret était suspendu au-dessus de ma tête comme un nuage noir. Il fallait absolument que je lui raconte tout. C'était la chose la plus dure que j'aie jamais eu à faire. Que se passerait-il si elle me rejetait ? Chose certaine, c'est que je ne pourrais le lui reprocher.
Avec crainte et tremblement, et beaucoup de larmes, je lui ai confié mon secret. Heureusement, elle m'aimait assez pour désirer aller de l'avant avec nos projets de mariage, si bien que nous sommes fiancés aujourd'hui. Toutefois, malgré cela, nous aurons à vivre avec ce problème le reste de notre vie. J'aurai toujours peur de la contaminer, elle, ou nos enfants à leur naissance.
Si seulement j'avais attendu jusqu'à ma nuit de noces. Si seulement mes parents m'avaient averti. Si seulement mon école m'avait enseigné la bonne chose à faire. Toutefois, je ne peux pas vraiment rejeter la faute sur eux. Je suis responsable de mes propres actions.
Si seulement ...
Les faits
• Chaque année, les MST frappent des millions d'adolescents. Si on ne les traite pas, ces MST peuvent causer la stérilité, la cécité, des lésions cardiaques, l'arthrite, des dommages au cerveau et même la mort.
• « Au Québec, 1 personne sur 20 est atteinte d'une MTS [MST]. »
(Suzanne Décarie, « Dossier MTS - Maladies transmises sexuellement », Santé, février 1991, p. 15.)
• Un sondage Gallup, effectué auprès de 6000 personnes vivant en France, en Italie, en Espagne, en Suède, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis révèle que les adultes savent encore très peu de choses à propos des maladies sexuellement transmissibles. La majorité des répondants ont estimé le nombre des adultes infectés à 1 % et moins, alors qu'il se trouve entre 10 et 25 %.
(Marie Claude Girard, « En Occident, on connaît mal les MTS », La Presse, mardi, 18 juillet 1995, AS. Congrès international de chimiothérapie.)
• Le VIH (virus du sida) et les autres MST ont tendance à aller de pair. En effet, les gens qui ont une MST risquent d'avantage de contracter le VIH que les gens qui n'en ont pas. Et, une fois infectée par le VIH, une personne est plus vulnérable aux MST. De plus, ces maladies peuvent être plus graves, et le sida accélère leur progression.
Les condoms
• Partout dans le monde, on fait beaucoup de publicité aujourd'hui pour encourager les gens à utiliser des CONDOMS, afin d'avoir des rapports sexuels sans risque. Mais les faits démontrent que les condoms peuvent glisser ou se briser pendant les relations sexuelles ; ils ne sont alors plus une protection contre le risque d'attraper une MST ou de tomber enceinte.
Vivre des relations sexuelles sûres !
• L'abstinence, tant chez les hommes que chez les femmes, ce n'est pas la suppression définitive des relations sexuelles ; c'est remettre à plus tard ces relations. C'est attendre d'être marié(e) pour jouir pleinement et le plus longtemps possible des relations sexuelles. Voilà ce qui s'appelle des relations sexuelles à 100 % sûres !
La loi de la moisson
Tu récoltes, ce que tu as semé !
Tout fermier connaît la loi de la moisson : ce qu'il sème, il le récoltera aussi. S'il sème du maïs, il récoltera du maïs. S'il sème des melons, il récoltera des melons. Ce qu'on sème, c'est ce qu'on récoltera.
Nous sommes tous en train de semer une « moisson » avec notre vie, et nos actions en sont les « semences ». En effet, quelque part dans l'avenir, nous récolterons une « moisson » qui sera le résultat de nos actions.
Quand tu te livres à des relations sexuelles hors mariage, tu sèmes les semences de l'immoralité, et il arrivera un moment où tu récolteras ce que tuas semé.
Quelqu'un pourrait dire : « Mais je ne crois pas à la loi de la moisson ! » Ce que tu crois ou ne crois pas ne changera rien à la réalité de ce processus. Dans le domaine de la physique, il existe une loi appelée la loi de la gravité. Tu peux ne pas y croire, mais il n'en demeure pas moins vrai qu'elle fonctionne. Si tu te jettes du haut d'un immeuble de dix étages, tu en subiras les conséquences, que tu croies ou non à la loi de la gravité. La même vérité s'applique à la loi de la moisson. Elle agit constamment, peu importe que tu y croies ou non. Tu récolteras ce que tu as semé.
La télévision, les magazines et le cinéma sont coupables de GROS MENSONGE en matière de sexualité. Pendant la journée, les feuilletons à l'eau de rose nous montrent des relations amoureuses qui se vivent neuf fois sur dix entre des gens non mariés l'un avec l'autre. Soir après soir, la télévision nous permet de voir de beaux hommes et de belles femmes qui couchent et découchent avec des partenaires autres que leur conjoint(e) légitime. Tout cela semble très excitant, mais fait partie du GROS MENSONGE.
Qu'est-ce que ce gros mensonge ? Le voici : tu n'as pas à payer le prix de relations sexuelles illicites (hors mariage). Quand as-tu déjà vu à la télévision quelqu'un attraper une maladie sexuellement transmissible ? Cela ne se produit jamais au petit écran. Il n'est donc pas surprenant que Josh McDowell, auteur et conférencier bien connu, ait dit : « La meilleure chose qui puisse arriver à la télévision pour la jeunesse de notre pays, c'est que J.R. [vedette de la télévision] attrape une M.V. [maladie vénérienne]. »
Il est bien possible qu'aucun personnage de la télévision ne paie le prix de ses relations sexuelles illicites, mais il en va tout autrement dans la vraie vie. La loi de la moisson est une chose certaine. Si tu sèmes les semences de l'immoralité, tu en récolteras les fruits amers.
C'est déjà assez dur de souffrir pour ses propres péchés, mais ce l'est encore davantage quand une personne que tu aimes souffre à cause de ce que tu as fait.
Il y a quelques années, un jeune homme sema ses semences d'immoralité. Ce faisant, il contracta une maladie vénérienne. Plus tard, il se rangea, devint un homme d'affaires avisé et épousa une merveilleuse jeune fille. Il naquit à ce couple un petit garçon aveugle par la faute de la maladie de son père. Pas longtemps après, sa jeune femme mourut de la même cause. Une nuit, écrasé de chagrin, le jeune homme prit son bébé et se rendit avec lui au cimetière. Et là, devant la tombe de sa femme, il tua son petit garçon aveugle et s'enleva la vie.
(A.W. Tozer, Teen Talk, No. 7.)
Semer et récolter est un sujet qui n'est pas entièrement négatif. Il a aussi son côté positif. En effet, si tu es un de ces jeunes possédant suffisamment de courage et de bon sens pour marcher à contre-courant et pour te garder pour ton mariage, tu peux t'attendre à une moisson de bénédictions extraordinaires.
(Tiré de Love, Dating and Sex par George B. Eager, Mailbox Club Books, Valdosta, GA © 1989 par George B. Eager, pp. 68-70.)
